Suite à une proposition de l’ANSES en 2016, le dioxyde de titane avait été classé comme cancérogène de catégorie 2 par l’Agence Européenne des Substances Chimiques (ECHA).
Le 23 novembre 2022 le Tribunal de l’Union Européenne a annulé cette décision.
La France a décidé le 8 février de faire appel de cette décision, réaffirmant ainsi sa volonté d’informer sur les dangers de cette substance.